Extreme violence
DOI:
https://doi.org/10.17184/eac.anthropen.134Keywords:
War, Suffering, Crime, Inhumanity, InjusticeAbstract
The notion of “extreme violence” can refer to war, despite anthropology never directly characterizing it as such. War scenes often foster brutal acts even if the number of victims is low. Therefore, multiple acts that can be related to extreme violence and hold a heavy emotional impact are observed in this context.
References
Coquio, C. (2005), «Violence sacrificielle et violence génocidaire», Quasimodo, no8, p.193-230.
Cronier, E. (s.d.), «Grande guerre et société», Encyclopædia Universalis, http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/grande-guerre-et-societe/ (consulté le 15 mars 2020).
El Kenz, D. (2010), «Les massacres au temps des guerres de religion. Violence de masse et résistance», Sciences Po - Violence de masse et résistance, réseau de recherche, 4 janvier, https://www.sciencespo.fr/mass-violence-war-massacre-resistance/fr/document/les-massacres-au-temps-des-guerres-de-religion (consulté le 19 juillet 2019).
El Kenz, D. (2011), «Le "massacre" est-il né aux guerres de Religion?», La Révolution française, vol. 3, https://journals.openedition.org/lrf/185?lang=es (consulté le 19 juillet 2019).
Kilani, M. (2006), Guerre et sacrifice. La violence extrême, Paris, PUF.
Kilani, M. (2009), «Violence extrême. L’anthropologie face aux massacres de masse», in F. Saillant (dir.), Réinventer l’anthropologie? Les sciences de la culture à l’épreuve de la globalisation, Montréal, Liber, p.109-128.
Le Bot, Y. (1992), La guerre en terre maya. Communauté, violence et modernité au Gauatemala (1970-1992), Paris, Karthala.
Le Cour Grandmaison, O. (2005), Coloniser, exterminer. Sur la guerre et l’État colonial, Paris, Fayard.
Leman-Langlois, S. (2006), «Le mégacrime, légitimité, légalité et obéissance», Criminologie, vol. 2, no39, p.3-37.
Mannoni, P. (2004), Les logiques du terrorisme, Paris, In-Press.
Meyran, R. (2006), Les mécanismes de la violence. États, institutions, individus, Auxerre, Éditions Sciences humaines.
Nahoum-Grappe, V. (2002 ), «Anthropologie de la violence extrême: le crime de profanation», Revue internationale des sciences sociales, vol. 4, no174, p.601-609.
Sémelin, J. (2000), «Introduction», in J. Sémelin (dir.), Rationalités de la violence extrême, Critique internationale, vol. 6, p.122-124.
Sémelin, J. (2002), «Introduction. Violences extrêmes: peut-on comprendre?», Revue internationale des sciences sociales, vol. 4, no174, p.479-481.
Sémelin, J. (2012), Purifier et détruire. Usages politiques des massacres et génocides, Paris, Points.
Sironi, F. et R. Branche (2002), «La torture aux frontières de l'humain », Revue internationale des sciences sociales, vol. 4, no174, p.591-600.
Wieviorka, M. (2004), La violence, Paris, Balland.
Downloads
Published
License
Copyright (c) 2020 Anthropen
This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.
Unless otherwise stated, content comprised on this website, including text, photographs, illustrations, trademarks, logos, audio or video clips, is protected by copyright law. All rights, titles and interests in the content belong exclusively to Anthropen. With the exception of works licensed under CC BY NC ND 4.0 any copying, reproduction, distribution, total or partial modification is strictly prohibited without the written permission of Anthropen and may expose the offender to legal sanctions.